Ces trois œuvres (Limite(s) 1, 2 et 3) peuvent constituer un triptyque, mais sont aussi lisibles séparément. Il s'agit d'une transposition de l'idée de la limite en tant qu’élément distinctif. La limite est ce que sépare deux composantes visuelles, deux formes qui s'opposent. C'est aussi un repère structurant pour l’œil humain qui permet une première lecture de l’oeuvre et une première différenciation. Donner à voir la limite induit de représenter la dichotomie entre le rectiligne et le flou, e1
Ces trois œuvres (Limite(s) 1, 2 et 3) peuvent constituer un triptyque, mais sont aussi lisibles séparément. Il s'agit d'une transposition de l'idée de la limite en tant qu’élément distinctif. La limite est ce que sépare deux composantes visuelles, deux formes qui s'opposent. C'est aussi un repère structurant pour l’œil humain qui permet une première lecture de l’oeuvre et une première différenciation. Donner à voir la limite induit de représenter la dichotomie entre le rectiligne et le flou, entre une couleur franche et un mélange. La limite est aussi ce qui freine le dépassement, et cette proposition a été aussi pour moi, par analogie, une interrogation sur mes propres limites artistiques.